La Cul'ture Pornographique
(2004)
Résumé:
Lui, ressemble à s'y méprendre au libraire et critique londonien qu'est Maxim Jakubowski. Elle, serait une lectrice admirative. Une correspondance effrénée s'engage entre un homme et une femme qui ne se connaissent pas. Et prend vite des tours fiévreux. Mais "nous savons trop bien tout deux qu'elle ne saurait se terminer heureusement ; elle ne peut que déboucher sur la défaite de nos corps dans des hôtels minables, entre des draps froissés, en criant sous l'orgasme comme on pleure à la mort. Dis-moi. Invente-moi une fin différente."
Ma vie chez les femmes de Maxim Jakubowski sera donc le premier roman de la catégorie érotique/pornographique que je vais présenté. J'aurais voulu commencer par un autre mais il aurait fallu que je le relise alors que celui je viens de le finir. Bon Bref, passons à mes impressions...
Tout d'abord c'est le style de Jakubowsky qui m'a surpris, le style et genre(je ne savais pas lequel choisir) de forme d'éciture qu'il change, par expemple lorsqu'il passe de la narration tout à fait banal à un dialogue téléphonique puis prend le chemin de l' épistolaire ainsi de suite... Tout ces changements et toutes ces juxtapositions des récits nous mélangent les pinceaux et nous nous poser de plus en plus dequestion, heureusement la fin apporte certaines réponses et pas toutes, enfin je n'ai peut être pas assez réfléchit à cela aussi. De plus sont styles d'écriture m'a beaucoup charmer, tant par la manière dont il fait ressentir des sentiments à ses personnages; "Certains critiqueraient l'ampleur de son dérrière, le jugeraient disproportionné, des gens qui seraient de la même taille qu'elle, mais lui, cela ne le dérange pas. Il trouve, au contraire, ce généreux spectacle fabuleusement attirant, lumineux même, et considère qu'elle est né pour se promener nue. Il faudrait la peindre, étendue en croix sur les draps blancs, ou dans des poses pornographiques; s'il en était capable, il la prendrait en photo, encore et encore, pour sa consommation personnelle". Ou encore dans la partie "Ceci n'est pas une histoire" dédié à une réflection sur les mots, "Mots qui sonnent faux. Mots qui sonnent juste. De toutes façons, jamais dans le bon ordre."
Néanmoins, je dois admettre que j'ai eu beaucoup de mal à m'y mettre, j'étais assez dubitatif au début, d'ailleurs je l'ai laissé plusieurs mois à l'abandon avant de m'y replonger, et c'est en continuant un peu plus que finalement je me suis pris l'engloutir, pas vraiment l'histoire, mais le style de l'auteur, oui je crois que c'est cela qui m'a surtout plus dans se livre, c'est plus la manière d'écrire de l'auteur que son histoire qui m'a touché. D'ailleurs, je reste un peu sur ma faim à la fin... enfin peut être suis-je également trop pas assez pessimiste pour accepter ce genre de fin?